• Boat People.......les migrants.........

    Boat People

     

       

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    le radeau de la Méduse

    Boat People.......les migrants.........

     

     


     

    paroles,musique,arrangement,interprétation de Bernard Pithon

    Boat People

     Ils ont choisi la mer, ils ont choisi l'exil
    Ils ont pris des rafiots, pour des terres prospères
    Ils ont défié les flots, ils ont cherché l'asile
    La grande traversée se voulait salutaire

    Refrain

    Ils ont choisi la mer,
    Ils ont fui la misère
    Ils ont laissé sur terre
    Les larmes

    La houl' les a surpris dans les creux de ses plis
    Les vagues s'amoncellent en étouffant leurs cris
    Dans la courbe des lames, ils montent vers les cieux
    Et descendent couverts d'humides étincelles

    Ils ont perdu leur âme, elle est restée en mer
    Belle étendue ardente, sous le vent qui se lève
    Ils ne reviendront plus, ils ont choisi la mer
    Ce n'est qu'au bord du ciel que finissent les rêves
    .

     Paroles, musique, arrangement et interprétation de Bernard Pithon


    Rappelez-vous l'origine du mot " boat people " :

     

    boat people, mot anglais signifiant « gens des bateaux » et désignant les réfugiés vietnamiens fuyant les conséquences du conflit vietnamo-cambodgien à partir de 1978.

    C’est la forme prise par la fuite de ces réfugiés qui est à l’origine de l’expression « Boat People » : quittant leur pays sur des embarcations de fortune dans des conditions de détresse extrêmes, victimes de pirates des mers, l’exode de ces réfugiés va susciter un élan de solidarité internationale. Une conférence tenue à Genève en juillet 1979 tente de mettre en place les moyens de porter assistance à ces populations regroupant près de un million de personnes.

    L’effort porte tout d’abord sur l’assistance humanitaire à apporter aux Boat People dont le sort fait l’objet d’une forte médiatisation de la part des organisations  non gouvernementales  qui interviennent sur le terrain de l’aide humanitaire d’urgence afin de contraindre les États à réagir. L’opération « un bateau pour le Viêt Nam » menée par Bernard Kouchner en est une des illustrations.

     

    30 ans après,changez le nom par migrants, c'est toujours d'actualité mais l'assistance à ces populations est plus  compliquée, entraîne des polémiques terribles .Notre planète devient difficilement sinon ingérable !

    Et si nous étions à leur place ????????

     

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  • Commentaires

    1
    Lundi 28 Mars 2016 à 19:26

    C'est très difficile de se mettre à leur place, si dangereuse, mais les comprendre, les aider, si possible, c'est un devoir pour nous les privilégiés!

    La chanson est magnifique, forte et elle accompagne bien ce que tu veux nous faire passer!

    Bises

    Gigi

    2
    Lundi 28 Mars 2016 à 20:28

    Eternel recommencement.Ces personnes fuient toutes un oppresseur ou un régime politique ou trop religieux. les aider est nécessaire, mais il faut aussi prendre en compte les problèmes économiques, et sociologiques  crées par leur accueil.

    Bonne soirée.

      • Lundi 28 Mars 2016 à 20:53

        j'en suis tout-à-fait consciente. Quel dilemme !

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    3
    Mardi 29 Mars 2016 à 01:01

     

     Oui il faut du courage pour partir " les migrants" ce ne sont pas des touristes !!

     

       Les "boat people" et bien d'autres... c'est de  la survie !!   c'est une fuite devant la terreur...on ne peut leur demander de rencontrer en plus la bêtise humaine !!!

     

       "Le radeau de la Méduse" c'est l'horreur absolue !! du savoir faire Français !!

     

     

     

    Mamylette  la Méduse avait appareillé de l'île d'Aix  !!  Joyeuse avec 3 autres bateaux  pour le Sénégal  !!!

     

    Théodore Géricault  est un romantique  sa "Scène d'un naufrage" de 4 par 7 m...  se moque du  commandant  Hugues Duroy de  Chaumareys,( qui n'a plus navigué depuis plus de vingt ans ) voulant prendre de l'avance  "dépasse " ses trois autres bateaux, dévie de sa trajectoire de 160 kilomètres ... adieu  le Sénégal ! et va échouer  La Méduse sur un banc de sable ...Et   les voilà   sur des chaloupes  et un "radeau Long de vingt mètres et large de sept, l'amarre se rompt ou est volontairement larguée." Le commandant de Chaumareys décide alors d'abandonner à leur sort les passagers du radeau,  sous les ordres de l'aspirant de première classe Jean-Daniel Coudein... Le pire est à venir puisque dès le premier jour  les vivres et les 2 barriques d'eau douce  tombent à la mer..  il ne reste que les de six barriques de vin !!!   c'est l'horreur..... 142 périssent noyés, dévorés ou tués  sur les  152.....!!!!

     

     

     

    Belle  page... une pensée pour eux

     

    Bonne journée

     

    Amitié

     

    4
    Mardi 29 Mars 2016 à 10:44

    C'est terrible ! A leur place, je tenterais sûrement la même chose...

    5
    Mardi 29 Mars 2016 à 11:14

    Malheureusement, je crains que ce genre de "navigation" perdure dans le temps hélas !

    Biiiizzz Mamy !

    6
    Mardi 29 Mars 2016 à 11:18
    Bonjour

    Difficile de se mettre à leur place , c'est quand même terrible .

    Etre solidaire me semble normal

    Je te souhaite une bonne journée .

    De gros bisous
    7
    Mardi 29 Mars 2016 à 12:40

    On ferait pareil j'en suis sûre !!!... 

    Belle journée. Bizzzzzz)

    8
    Jacques D
    Jeudi 31 Mars 2016 à 18:36

    Bonjour Mamylette,

    Ces hommes, ces femmes et ces enfants qui fuient leur pays est un déchirement. Ils fuient pour ne pas être tués. Contrairement à une idée qui se développe en France, beaucoup de ces migrants syriens ou irakiens ne sont pas les plus défavorisés. Beaucoup avaient suffisamment d'argent pour quitter leur pays, s'offrir un passeur ou acquérir de faux-papiers. Il faut savoir que la Syrie était un pays développé et que 30% de la population est diplômé de l'enseignement supérieur. J'ai mal pour eux et j'ose imaginer leur détresse, leurs angoisses, leurs peurs..J'ose imaginer le mal du pays, la séparation, l'absence des êtres aimés. J'ose imaginer les inquiétudes de ceux qui veulent se construire une nouvelle vie et s'intégrer dans le tissu social. J'ose imaginer cette misère humaine en pleurs s'empilant dans des barques de fortune pour rejoindre les portes de l'Europe. J'ose imaginer les semaines de galère, d'errance dans le froid et la faim au ventre, de ces migrants rejetés aux frontières.J'ose imaginer ceux qui feront l'objet d'une mesure d'expulsion dont on va offrir une vie sans vie ou la mort. Petit français moyen, je ne suis pas coupable de cette situation, mais je dois reconnaître que je suis chanceux de vivre libre dans un pays en paix. A ceux qui hurlent et jettent aux loups les plus faibles, il est bon de rappeler cela.

    Grosses bises.

    9
    Vendredi 1er Avril 2016 à 18:02

    Nous ferions de même.... 

    http://img11.hostingpics.net/pics/842910soleil1.gif

    10
    Vendredi 1er Avril 2016 à 21:01

    pleurs

     

    Pleurer devant une telle détresse

    Gigi

      • Vendredi 1er Avril 2016 à 22:22

        belle  image gigi qui exprime bien ce qu'on ressent!

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